Vers une nouvelle vie
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Vers une nouvelle vie
Elle le comprenait de moins en moins. Après tout, ils ne se connaissaient pas vraiment, ils voyageaient tout simplement ensemble du a certaines circonstances.
Son « fiancé » était quelqu’un de renfermer, brusque, qui sait ce qu’il veut…ou pas, le tout dépendant des moments et de son humeur. Tout était resté platonique et froid jusqu'à cette auberge dans un village où débordait joie et bonheur. Bref avant, elle n’avait pas trop a s’en faire. Ils étaient arrivés un soir ou un mariage était célébré, de la musique, des rires, des chansons. Tout était trop bruyant et festif, ils avaient décidé d’aller se reposer à leur chambre, quand une femme bien enrobée dans ses kilos de graisse lui avait saisi une fesse.
Elle l’avait senti se tendre, et bien entendu, elle le connaissait suffisamment pour savoir comment son ronchon de « fiancé » allait réagir. Elle s’engeula avec la femme, devant être la fiancée qui protège son territoire et a contre cœur, allant contre le serrement qu’elle s’était fait, elle embrassa celui-ci sur les lèvres, et il lui rendit.
C’est la que tout bascula, du moins, c’est ce qu’elle pensait. Bon sang, après tout, toutes jeunes femmes normalement constituées préféreraient subir, ou plutôt vivre, leur premier baiser dans des circonstances toute autres ! Elle devait être malade. La nuit elle en avait même rêvé.
Puis il y eu Julius, un homme tout a fait moche, et trop débordant de joie et de bons conseils, qui s’était mit a les aborder au lendemain. Se vantant de ses sept femmes, et celles n’étant pas a lui faisant les yeux doux. Ou est-ce qu’ils s’étaient donc fourré ?
Préférant au final, a la fin de l’après midi, feidre un pique nique en couple dans les bois, histoire de se tirer vite fait de ce trou étrange en admiration éperdue devant un mec …qui semblait collectionner les perles qui lui plaisait, et que, selon l’aubergiste, il en prendrait bientôt une huitième, car il lui a laisser lui laver les pieds.
Dans le bois, une fois seul et le campement monter, il lui avait fait bien comprendre la position de chacun. Avait-il mal compris une de ses paroles ? Elle ne le savait pas trop, mais la façon brusque dont il c’était servi pour lui faire comprendre qu’elle en faisait trop, était elle, très claire. Elle laissa donc son « Fiancé » de son coter, et alla s’occuper.
Quelques secondes plus tard quand elle releva les yeux il était devant elle, le regard dominant. Elle sursauta vivement, se piquant le doigt avec l’aiguille de couture. Il la réprima sur sa maladresse, puis, mit le doigt dans sa bouche. Un frisson étrange la parcoura, puis avant même qu’elle sache comment, les lèvres de celui-ci était sur les siennes. Il se retira aussi vite qu’il était venu. Avait-elle rêvé éveillée ? Peut être, mais son cœur qui battait 100 a l’heures semblait dire autre chose. Il lui ordonna de venir le trouver, c’était l’heure de dormir.
Non, elle ne le comprenait pas du tout. Mais d’ici quelques temps, ils seraient bientôt à Vanatia.
Son « fiancé » était quelqu’un de renfermer, brusque, qui sait ce qu’il veut…ou pas, le tout dépendant des moments et de son humeur. Tout était resté platonique et froid jusqu'à cette auberge dans un village où débordait joie et bonheur. Bref avant, elle n’avait pas trop a s’en faire. Ils étaient arrivés un soir ou un mariage était célébré, de la musique, des rires, des chansons. Tout était trop bruyant et festif, ils avaient décidé d’aller se reposer à leur chambre, quand une femme bien enrobée dans ses kilos de graisse lui avait saisi une fesse.
Elle l’avait senti se tendre, et bien entendu, elle le connaissait suffisamment pour savoir comment son ronchon de « fiancé » allait réagir. Elle s’engeula avec la femme, devant être la fiancée qui protège son territoire et a contre cœur, allant contre le serrement qu’elle s’était fait, elle embrassa celui-ci sur les lèvres, et il lui rendit.
C’est la que tout bascula, du moins, c’est ce qu’elle pensait. Bon sang, après tout, toutes jeunes femmes normalement constituées préféreraient subir, ou plutôt vivre, leur premier baiser dans des circonstances toute autres ! Elle devait être malade. La nuit elle en avait même rêvé.
Puis il y eu Julius, un homme tout a fait moche, et trop débordant de joie et de bons conseils, qui s’était mit a les aborder au lendemain. Se vantant de ses sept femmes, et celles n’étant pas a lui faisant les yeux doux. Ou est-ce qu’ils s’étaient donc fourré ?
Préférant au final, a la fin de l’après midi, feidre un pique nique en couple dans les bois, histoire de se tirer vite fait de ce trou étrange en admiration éperdue devant un mec …qui semblait collectionner les perles qui lui plaisait, et que, selon l’aubergiste, il en prendrait bientôt une huitième, car il lui a laisser lui laver les pieds.
Dans le bois, une fois seul et le campement monter, il lui avait fait bien comprendre la position de chacun. Avait-il mal compris une de ses paroles ? Elle ne le savait pas trop, mais la façon brusque dont il c’était servi pour lui faire comprendre qu’elle en faisait trop, était elle, très claire. Elle laissa donc son « Fiancé » de son coter, et alla s’occuper.
Quelques secondes plus tard quand elle releva les yeux il était devant elle, le regard dominant. Elle sursauta vivement, se piquant le doigt avec l’aiguille de couture. Il la réprima sur sa maladresse, puis, mit le doigt dans sa bouche. Un frisson étrange la parcoura, puis avant même qu’elle sache comment, les lèvres de celui-ci était sur les siennes. Il se retira aussi vite qu’il était venu. Avait-elle rêvé éveillée ? Peut être, mais son cœur qui battait 100 a l’heures semblait dire autre chose. Il lui ordonna de venir le trouver, c’était l’heure de dormir.
Non, elle ne le comprenait pas du tout. Mais d’ici quelques temps, ils seraient bientôt à Vanatia.
Aiwë, Demi-Haute-elfe- Naufragé(e)
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Date d'inscription : 08/01/2010
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